La qualification de kinésiologue de ASTM® est réservée à des personnes ayant satisfait aux critères de sélection et de formation définis par ASTM®. Les protocoles enseignés par ASTM® peuvent être utilisés seuls ou concurremment, le cas échéant, avec d’autres protocoles.
Les règles éthiques ci-dessous énoncées concernent l’ensemble des élèves et kinésiologues de ASTM® et leur pratique.
Ces règles ne sont pas, en aucun cas, dérogatoires de celles déjà établies par les différentes réglementations et autres chartes des professions, notamment médicales, para médicales et psychothérapeutiques pouvant également être exercées par chaque élève ou kinésiologue de ASTM® (notamment Ordre des médecins, fédérations et syndicats professionnels...), mais viennent les compléter ou en préciser certains aspects.
Ces règles d´éthique s’inscrivent dans l’ensemble des valeurs qui régissent les Droits de l’homme et dans les lois et règlements applicables.
Afin de faire respecter ces règles éthiques, ASTM® désigne parmi ses actionnaires, son corps enseignant ou à l´extérieur pour une durée de 4 ans, 3 membres ou davantage chargés de traiter les problèmes relatifs à l’éthique.
Outre les pouvoirs disciplinaires ci-après énoncés, la commission de déontologie sera également chargée de contacter les personnes utilisant la référence à ASTM® de manière indue afin de leur demander de cesser cette utilisation voire d’entamer des poursuites à leur encontre.
A la demande de tout intéressé, ASTM® fera appel à la commission de déontologie qui a un rôle d’information, de prévention, de conseil et d’examen. La commission de déontologie est à la disposition de tout élève ou kinésiologue de ASTM® et du plaignant pour examiner la réclamation. Elle a le pouvoir de statuer pour décider s’il y a infraction ou non et sur la valeur de ladite infraction. En conséquence, elle pourra, en sus, prendre de plein droit toutes les décisions nécessaires.
La liste des décisions possibles prises par la commission de déontologie est la suivante :
Si un élève ou kinésiologue de ASTM® soupçonné appartient à la commission de déontologie, il devra aussitôt démissionner de ce poste de façon à ce que ses collègues dont le nombre sera toujours porté à trois au minimum par décision de ASTM®, puissent délibérer et prendre leur décision en toute sérénité.
Si l’élève ou kinésiologue de ASTM® soupçonné, puis sanctionné, appartient à la commission de déontologie, il sera considéré comme suspendu pendant la durée de la procédure, puis démissionnaire en cas de perte de son titre de « kinésiologue de l´ASTM », de plein droit de ce poste.